Quills – la plume et le sang

Film Quills – la plume et le sang , Le Marquis de Sade explore, par sa plume, le côté interdit de l’homme : les passions obscènes du corps, les pulsions sexuelles, les désirs immoraux. Au début du XIXème siècle, il est considéré comme l’être le plus perfide, le monstre le plus abject, mais aussi comme l’homme le plus libre d’esprit que le monde ait connu.Les frasques du Marquis de Sade ont eu raison de sa liberté et de sa santé mentale. Alors qu’il est au faîte de sa carrière, il se retrouve emprisonné dans l’asile de Charenton afin d’y être  » soigné « . Sous le regard attentif et omniprésent de l’abbé de Coulmier, qui soutient pouvoir réhabiliter cet homme, le Marquis de Sade continue ses écrits érotiques et sulfureux.Afin de transmettre les manuscrits au grand public, il est aidé par Madeleine Leclerc, une jeune et innocente femme de chambre. Facilement influençable, elle est la personne idéale pour assouvir ses fantasmes les plus fous.L’abbé voit d’un mauvais oeil cette relation qui ne peut de toute évidence aider à la rédemption de Sade. Les provocations du Marquis irritent également le médecin Royer-Collard, qui lui retire au fil des jours ses moyens d’expression et par là même sa liberté. , voir film Quills – la plume et le sang en streaming vf gratuit illimité sur papystreaming.

Secrets de tournage Dough Wright, auteur de la pièce "J'ai tout de suite vu que Phil avait saisi la tonalité et l'humour de la pièce. Il devint rapidement un fin connaisseur du Marquis et trouva le moyen de " radiographier " mon âme et de stimuler mon imagination. Il m'aida à tourner mes discours en rhapsodies visuelles, et ne cessa d'élargir mon regard. Au départ, je craignais qu'il ne me demande de mettre de l'eau dans mon vin pour épargner les spectateurs les plus délicats. Cette crainte était i Lire plus De Philip Kaufman, réalisateur "J'ai toujours été fasciné par la littérature de l'extrême parce qu'elle nous ouvre à une vision plus large de l'humanité. Aucun écrivain n'a révélé mieux que Sade l'hypocrisie des soi-disant moralistes. C'est un film provocant, mais le Marquis ne nous pardonnerait pas d'être timorés." Geoffrey Rush à propos de la réalisation "Philip Kaufman a conféré une dimension jubilatoire et des vertus cathartiques à ce matériau sulfureux, sans oublier pour autant d'adresser des clins d'oeil malicieux au spectateur ni de s'amuser quelque peu à ses dépens."